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 James Austen. My Autobiography.

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James Austen

James Austen


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MessageSujet: James Austen. My Autobiography.   James Austen. My Autobiography. EmptyDim 13 Avr - 1:05

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_____PAPERS OF IDENTITY_____

    » Nom: Austen, comme l'écrivaine célèbre à travers les âges. Mon père dit qu'il y aurait des liens de parenté, mais je ne m'y suis jamais particulièrement attardé.
    » Prénom: James Christopher. Pourquoi Christopher? Parce que c'est le prénom de mon père, et que mes parents ont convenu qu'il fallait que j'aie un certain 'héritage' .
    » Age: 24 ans et plein d'ambitions, une carrière commencée avec brio et un avenir prometteur.
    » Date et lieu de naissance: 30 juin 1983 à Londres.
    » Origines: Anglaises, Anglaises, Anglaises... J'ai oublié un truc? Ah oui. Je suis anglais.

_____PROFIL_____

    » Caractère: Je ne suis pas quelqu'un de méchant, n'importe qui pourra en témoigner. Plutôt du genre à aller vers les gens, on voit en général très vite que je ne mords pas. Bien entendu, comme tout le monde j'ai mes moments de colère, mes coups de gueule, et si on me provoque je peux devenir vraiment chieur, mais ce n'est pas la même chose. Je suis donc quelqu'un de plutôt sympathique et avec une bonne humeur que je vous défierais de mettre à l'épreuve. Je n'aime pas me morfondre. Il en va donc de soit que je déteste voir les gens malheureux. Une véritable pillule pour l'âme, je suis le bon samaritain qui vient délivrer les âmes en peines, en quelque sorte. Pour tout dire, j'aime faire rire les gens, et je suis un assez bon ami. Sur ce point, on s'entendra que je suis plutôt fidèle. Car si on me demande de faire durer une relation amoureuse, c'est plus tendu. J'ai une certaine difficulté dira-t-on à rester avec une fille sans la tromper. Mes ruptures se sont souvent déroulées à cause justement de ma manie à aller flirter à gauche et à droite. C'est mauvais, cruel même et irrespectueux, mais c'est toujours plus fort que moi. J'ai jamais vraiment été amoureux, je crois que ça vient de là. Pour moi, les filles c'est d'usage, mais à part ça, c'est pas trop mon truc à moi les relations longue durée.
    Je déteste faire des choses sans rien obtenir en retour. Ça m'agace. Il faut toujours que je sois certain d'avoir un petit truc pour que je fasse la moindre chose. Je suis journaliste, d'ailleurs et ça terrorise mes employeurs de savoir quelle demande impossible ils vont avoir pour que je réalise une entrevue. Bien sûr, parfois je les fait sans demander la lune, mais il y a toujours quelque chose là-dessous. Les secrets, ça me connaît. Je ne suis pas du genre à divulguer ma vie complète aux gens, ça me rend complètement malade. Je le fais avec les autres, mais pas pour moi. Bien trop peur qu'on voie clair dans mon petit jeu. Si je jouais sincère avec toutes les filles que j'ai fréquenté, ça aurait été terrible et je serais probablement l'homme de Londres avec la réputation la plus sale.
    Je suis d'autre part un gars vraiment bordélique. Je n'ai jamais été capable de ranger les choses au bon endroit, jamais pu faire un ménage convenablement. Je demande donc à quelqu'un de le faire à ma place, sinon il y aurait longtemps qu'on m'aurait retrouvé mort sous les piles de vêtements sales. Vous avez bien compris, je ne sais pas me servir non plus d'une machine à laver. Je suis humble, et n'ai pas honte de mes actes. Si on me complimente, je dis merci, mais je ne charie pas. Si je sais que j'ai bien fait mon travail, je ne commente pas. Je ne suis pas orgueilleux, mais je suis perfectionniste lorsque je m'y mets. Je suis capable de bosser des heures et des heures sur un article qui m'intéresse particulièrement, et ce par pur plaisir. Parlant de plaisir, j'aime m'amuser. Je déteste les responsabilités trop grandes, et je les fuie avec brio, d'ailleurs. Vous ne me verrez jamais faire quelque chose de terriblement sérieux en dehors du boulot. Je veux mon plaisir, faire la fête (je suis un incorrigible fêtard) et mis à part ça, je ne demande pas grand chose. J'ai besoin de ma liberté, parce que si je n'ai pas celle-ci, je me sens en prison. C'est un peu pour cette raison que mes histoires avec les filles se terminent toutes bien rapidement. Je ne veux pas qu'on s'attache à moi mis-à-part si c'est pour une amitié, et malheureusement avec elles l'amitié semble toujours se résumer à l'amour. Ce n'est pas qu'elles me répugnent, pourtant. Si une d'elles me laissait une certaine liberté et me laissait voir ailleurs (essayez d'abord d'expliquer ça à une femme, vous : je veux bien de toi, mais je veux aussi aller draguer la petite blonde là-bas), je me caserais peut-être, mais ça ne risque pas d'arriver. Mon véritable plaisir, c'est souvent de sortir en boîte et délirer, draguer en toute liberté et sortir comme dans le bon vieux temps, même si mes sorties 'entre potes' semblent s'être limitées depuis quelques temps.
    Je vais parler des filles en plus de profondeur. Parce que c'est un sujet qui semble effarer les quelques personnes qui connaissent mes techniques, et aussi parce qu'elles sont en général dans mon décor. Ça et l'écriture, je ne m'en passerais probablement pas. Une ne va pas sans l'autre, et j'ai toujours le besoin tordu d'écrire sur celles-ci lorsque l'aventure se termine. J'ai une armoire pleine de textes sur mes anciennes petites amies, et sur les filles que j'ai rencontré l'histoire d'une nuit. Innutile de dire que quiconque trouverait ces histoires me comprometterait, mais je ne pense pas que ça arrive de sitôt. Les filles sont donc ma petite obsession personnelle. Je les fait la plupart du temps mijoter un peu avant de les rappeller, ou bien je joue le jeu du type qui ne réalise pas qu'il plaît. Mais il faut faire attention avec elles, parce que s'attacher rend très rapidement les relations néfastes. Je rompts très vite, habituellement, de peur de m'attacher. Je ne suis pas complexé affectivement, mais je ne suis simplement pas à l'aise avec ce genre de relations. J'ai eu une mauvaise expérience et je n'ai pas recommencé depuis.

    » Physique: Les avis à ce sujet sont partagé. Certains vont dire que je suis grand, d'autres petits. Certaines vont dire que je suis un Dieu, pour reprendre les propos d'une adolescente bourrée qui m'a presque fait faire du détournement de mineure, et certaines diront que je suis de mauvais goût. Pour ma part, je ne me complimenterai pas, mais je ne suis quand même pas trop mal. J'ai une musculature fine, je suis assez mince, de silhouette petite mais je suis tout de même musclé. Je m'entraîne légèrement, sans trop exagérer. Je ne suis pas monsieur muscle et heureusement, mais j'ai une musculature assez respectable tout de même et ajoutez à cela un bronzage facile, car par je ne sais quelle raison je bronze très facilement, vous avez un homme assez bien et qui est bien coté, et pour une fois pas que pour l'argent. Passons maintenant au visage, parce que c'est généralement ce que l'on remarque premièrement chez les gens.
    La véritable couleur de mes cheveux est le brun clair, malgré le fait que j'ai souvent eu le tripp de les faire colorer depuis une crise avec ma seule et unique relation sérieuse et comme la couleur avait bien passée d'après les commentaires, j'ai répété l'expérience quelques fois. J'ai un regard bleu troublant qui s'agence d'ailleurs parfaitement avec les deux couleurs. En effet, troublant parce que les gens ont à la fois de la difficulté à me regarder dans les yeux et ensuite à s'en détacher. C'est ainsi que j'inspire confiance aux filles, le coup d'un regard ou presque elles se retrouvent captivées par une conversation quelconque. J'ai une bouche fine, et ma voix n'est pas vraiment grave, plutôt douce même, je suis agréable à écouter, apparement puisqu'on ne m'a jamais demandé de me taire. J'ai des lèvres fines, rosées et un nez quelque peu en virgule. J'ai un visage tracé tout en détails parfaitements découpés, accentué souvent d'une barbe que je laisse pousser quand ça me chante.

    » Style vestimentaire: Par où commencer? Je n'en sais rien. J'ai un style vestimentaire des plus complexe. J'ai gardé absolument tout de mes anciens vêtements d'adolescent, tout ce qui me fait encore, eh bien je le porte encore. Mais uniquement lorsque je ne sors pas, puisque j'aurais l'air bien étrange de me présenter à des interviews carrément 'déguisé' comme dans les années 90. Je porte des vêtements pour homme moderne en dehors de ça, jeans et chemises font parti de mon attirail quotidien. La seule chose qui marque réellement chez moi, ce sont les chaussures. J'en ai de nombreuses paires, toutes plus 'adolescentes' les unes que les autres. J'essaie souvent d'être plus jeune que mon âge, et j'agis souvent comme un gamin. Mais c'est une toute autre histoire. En bref, vestimentairement, je suis plutôt un type banal qui porte ce que lui conseille la vendeuse du magasin.

_____BIOGRAPHIE_____

    » Famille: Mon père. Un homme entreprenant, courageux, ambitieux, brillant, intellectuel, malheureusement qui n'a rien fait de plus que devenir professeur de littérature à la London Metropolitan University. Bien entendu, lui se trouve à être heureux, malheureusement pour lui il n'a pas su se réveiller et faire plus. J'ai 24 ans et je fais déjà un salaire plus gros que le sien, si ça peut vous donner une idée. Il vient d'une famille de comptables, et il était le littéraire de la famille. Innutile de dire qu'il m'a encouragé à poursuivre dans le milieu des lettres et de l'écriture. Je ne sais pas trop pourquoi, mais je pense que mon père aurait voulu faire comme moi, journaliste. C'est pour ça qu'il m'a encouragé autant à faire ce que je voulais faire, j'imagine.
    Ma mère. Psychiâtre, toujours occupée. Elle boit au moins six cafés par jour, est toujours sur les nerfs, me demande au moins quatre fois par conversation téléphonique si je n'aurais pas besoin de lui parler, si j'ai finalement trouvé une fille sympa qui pourrait être définitivement 'la bonne', que je devrais peut-être prendre des vacances (c'est elle qui me dit ça), et en bref elle me prend pour un de ses patients même si je pense aller très bien mentalement parlant.
    Je sais, vous vous demandez probablement tout comme moi comment ce match peut-il s'être fait. Psychiâtre vs. Professeur de littérature, on voit le drôle de mélange. Eh bien mes parents se sont rencontrés lorsque ma tante a fait une dépression. Mon père l'a accompagné à l'hôpital et ma mère faisait son suivi. C'est assez étrange, mais ce fut apparament le coup de foudre puisqu'ils sont toujours ensemble. Ils se sont mariés après quatre ans de fréquentation et m'ont eu encore quatre ans plus tard.

    » Histoire: Le matin où j'ai décidé de venir au monde, ma mère était sur les nerfs, dans le salon de l'appartement familial, paniquant et ayant comme à l'habitude depuis environ un mois la peur d'accoucher sans que son mari soit à ses côtés...et surtout sans être à l'hôpital. Elle était étendue sur le canapé, regardait un film médiocre qu'elle affectionne tant, un de ces films d'amour particulièrement clichés. Mon père bossait, elle était en congé en vue de son accouchement qui était pour bientôt. Tous les matins, elle se demandait si ça n'arriverait pas finalement, le jour où il ne serait pas là et elle briserait ses eaux. Juste au moment où elle pensait à ce qu'elle ferait dans un cas comme celui-ci, elle sentit les premières contractions. État de panique, ce qui est plutôt ironique lorsque l'on pense que ma mère est psychiâtre, elle s'empara du téléphone et appela tout le monde qui lui passait par la tête. L'ambulance, la police, mais elle omis d'appeller mon père. Quelques minutes plus tard, les services de police étaient à la maison, se demandant ce qui se passait dans notre appartement, et lorsqu'ils trouvèrent une simple femme enceinte qui allait accoucher, certains rirent et certains furent découragés. Ma mère fut conduite à l'hôpital et quelques heures plus tard je naissais. C'est lorsqu'elle m'eut dans les bras pour la première fois que ma mère réalisa finalement que mon père n'était pas là. Elle demanda à l'infirmière qui était près d'elle d'appeller mon père pour qu'il vienne, et celui-ci quitta en plein milieu d'un cours qu'il donnait, sous le choc, énervé, pressé de voir à quoi je ressemblais finalement.

    Les premiers mois de ma vie ressemblèrent étrangement à un cobail mis sous observation. Parce que je me sentais toujours observé, mes parents étaient toujours aux aguets jour et nuit. Et là encore, c'était lorsque j'avais un peu de répit. Pour ceux qui n'ont jamais connu cette époque stressante qu'est la naissance et la suite de la naissance, c'est le moment de votre existance où l'on rencontre plus de gens que dans toute une vie, où l'on rencontre des gens qui en général ne vous adresseraient pas la parole et vous dévisageraient, mais comme vous faites parti de cette classe sociale nommée 'les bébés', ils daignent vous adresser la parole. Ainsi donc, on se présentait à moi, comme si un bébé pouvait sincèrement reconnaître les gens. Par la suite, quelques années plus tard, certaines personnes me demandaient si je me souvenais d'elles. La réponse était non, heureusement qu'ils n'en étaient pas vexés.
    J'appris à marcher, puis je finis par apprendre à parler, au grand bonheur de ma mère qui pensait que je pourrais alors 'mettre des mots sur mes sentiments' et qui espérait sans doute que je serais apte à avoir avec elle les discussions qu'elle n'a presque jamais avec ses clients. Ma mère était un peu fatiguée par le boulot, syphonée depuis de nombreuses années déjà. Elle avait près de quarante ans quand elle m'a eut, il faut dire qu'elle n'était plus non plus la jeunesse incarnée. Mais elle avait tout de même des espérances impossibles, que j'ai probablement réussi à toutes briser aujourd'hui. Ma mère a toujours cru que je serais pour elle un outil précieux à sa carrière, pas un fils. Et malheureusement j'ai préféré suivre la deuxième voie. Mais elle ne s'est pas empêchée de me psychanalyser à souhait durant toute mon enfance et mon adolescence, pour les quelques moments où je lui ai parlé de ma vie en profondeur. D'ailleurs, elle m'a aidé à me faire mon premier ami, à la maternelle, et grâce à son obsession pour me 'soigner de mes maux intérieurs', je n'ai plus eu le trac de ma vie.
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James Austen

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MessageSujet: Re: James Austen. My Autobiography.   James Austen. My Autobiography. EmptyDim 13 Avr - 7:12

    Laissez-moi donc vous raconter cette fameuse première journée d'école, où mes parents m'accompagnaient pour la première fois dans cet établissement qui faisait tant jaser dans le quartier. Une école. Qu'est-ce qu'on allait y faire. Certains enfants disaient que c'était un endroit où ils nous rendaient intelligents, une fabrique à intelligence, en quelque sorte. D'autres disaient qu'on apprenait à lire et compter, chose que je savais déjà faire grâce à mes parents qui m'avaient instruits d'avance. Je tremblais dans la cour de l'école, attendant que l'on nous dise d'entrer, puis finalement nous sommes tous entrés, nerveux, tremblants. Ma mère me répétait que je n'avais pas à avoir peur, que l'école n'était pas dangereuse, et que j'allais me faire des amis. Puis nous avons apperçu une autre mère, faisant exactement la même chose avec son propre gamin. Ma mère jugea bon de faire des présentations entre le gamin et moi. Il s'appellait Jason et jusqu'à aujourd'hui, il est encore mon meilleur ami.Nous avons tout fait ensemble à partir de là. Lancé de la boue aux petites filles sur le terrain de l'école, volé des bonbons au dépanneur du coin de la rue, jouer à sonner aux portes de toutes les maisons du quartier. Nous avons rendu folle ma babysitter, et de nombreuses choses encore. Innombrables, innommables. Nos activités ont évolué avec le temps. Se bourrer, draguer des filles, inviter celles-ci dans le sous-sol de l'un ou dans la voiture des parents de l'autre, ce fut avec lui que je fumai ma première cigarette, qu'on avait piqué à mon père. Vous avez dit quatre cent coups? Je vous dirais plus. C'était le bon temps, le temps des conneries. Maintenant les choses sont différentes. Mais on ne peut rien y faire.

    Parlons un peu de l'adolescence, des conneries et du dépucelage. À 14 ans, je pouvais dire que j'avais couché avec une fille, belle en plus. Et ce n'était pas un mensonge, la fille s'en est vanté pendant quelques semaines.
    J'ai eu une adolescence assez ordinaire. Les beuveries en cachette, les escapades nocturnes, les fausses signatures sur des examens aux échecs désastreux, les soirées dans le sous-sol de James à jouer à la console ou à regarder le sport à la télé. Comme tous les adolescents, en bref, flirtant à gauche et à droite avec des filles pour m'amuser un peu, fantasmant sur cette prof de mathématiques ultra-belle... La vie des adolescents clichés, en quelque sorte, dans les règles de l'art. Tout était tellement cool avant que Jason ne se case, mais dans un sens on ne peut pas lui en vouloir de pas être au célibat, ce serait parfaitement égoïste et débile de ma part. Je vais finir par comprendre et me caser aussi, sans doute. Ou pas, parce que je suis trop en quête de liberté pour ça. C'est durant mon adolescence aussi que j'ai réalisé que je voulais écrire et devenir journaliste. J'ai fait le journal de l'école, la radio aussi. J'aimais bien ce genre de trucs, et je pouvais bien aspirer à en faire plus qu'un passe-temps. C'est un peu comme ça que je suis devenu ce que je suis aujourd'hui. Sinon, il n'y a pas grand chose à raconter sur mon adolescence. Je pourrais dire que je suis sorti quelques jours avec certaines filles, ai eu deux petites amies à la fois, me suis fait traîté d'ordure au moins soixante trois fois par mes exs, sinon je ne vois pas quoi dire sur mon adolescence.

    Il y aurait bien assez à dire de toute façon sur mes liaisons dangereuses en tant qu'adulte. Parce que j'ai une fois dans ma vie tenté d'agir en tant que type clean, et j'ai lamentablement échoué. J'avais rencontré cette chic fille, Grace, et j'ai tout fait loupé parce qu'elle m'a trouvé au lit avec une autre fille. Juste pour prouver que j'étais capable de tenir un engagement concret avec une fille, je l'avais demandée en mariage. C'est fort, mais c'était apparement ce que ça prenait pour qu'elle me croit, puisqu'elle avait accepté. Nos fiançailles ont duré vingt jours et dix-neuf nuits. Elle m'a plus jamais donné de nouvelles, par la suite, et je ne l'ai jamais revue. C'était une fille que j'avais rencontré à l'école de journalisme, superbe. L'autre avec qui je l'ai 'trompé' parce que je n'appelle pas ça tromper, ne lui arrivait pas à la cheville. Par la suite, je me suis décidé à ne jamais m'engager dans aucune relation. J'ai certes sautillé par-ci et par-là avec quelques filles, entretenant pendant un an (record mondial) une relation avec cette fille qui m'a en quelque sorte plaqué, Elizabeth Clover. Ça ne me gêne pas vraiment, elle a préféré aller voir ailleurs. Je la comprends, ça faisait un moment que je le faisais déjà moi-même. Je n'ai jamais été apte à la fidélité. Ça ne colle pas à mon tempérament. Aujourd'hui encore, il y a cette actrice, October Shelton, avec qui j'ai réussi à récolter une deuxième entrevue. Elle est mignonne, assez intéressante je dois dire, mais ça n'ira certainement pas plus loin qu'une histoire de couchette, probablement d'une nuit d'ailleurs.

    » Une annecdote sur votre vie amoureuse: J'ai été fiancé, comme je l'ai déjà dit plus tôt, à une autre étudiante en journalisme avec qui je faisais mon cours. J'ai pendant un certain moment cru que j'allais peut-être passer ma vie avec elle, si je réussissais un jour à me débarasser de cette envie de draguer tout ce qui fait parti de la gente féminine, mais malheureusement elle a mis un terme à notre relation lorsqu'elle m'a trouvé au lit avec une fille. Son lit, plus précisément, parce que j'avais emménagé chez elle dans son petit appartement. Elle m'a rapidement fait deviné qu'il fallait que je dégage si je ne voulais pas me faire taper dessus. Elle m'a rendu la bague, puis ne m'a jamais reparlé. Je n'ai pas de nouvelles d'elle, d'ailleurs, depuis ce temps. J'imagine qu'elle a une vie, peu importe.

_____SI L'ON VOUS FOUILLE ... ON TROUVERA_____

    » Dans votre portefeuille: Mon portefeuille est un endroit ultra-complexe ou seuls les plus téméraires auront envie de s'aventurer. Très peu organisé, tout y est de travers. Cartes bancaires, généralement 200 livres pour les imprévus, une liste de numéros de téléphone, des factures. Je traîne aussi un ou deux préservatifs, juste au cas où, car on est jamais assez prudent, il paraît.
    » Tes musiques dans ton I-pod: De tout. J'aime les styles variés, pour être franc, et je ne suis pas très difficile. Je ne supporte simplement pas le hip hop et le rap 'gangster'. Mais ce qui reste sur mon Ipod en permanance, c'est ma bonne vieille musique genre Simon and Garfunkel et The Beatles. Oubliez ça, vous ne m'en ferez jamais démordre. Je suis un vrai accro.
    » Dans ton grenier: Dans quel grenier? J'ai pas de grenier, moi...

_____OTHER_____

    » Surnom: Emesele. Ou bien connue en tant que VIP.Whore .
    » Age: 18 ans.
    » Sexe: Féminin.
    » Niveau RP: C'est relatif d'une personne à une autre. Inspirez moi, je poste large, mais si vous me donnez un nombre de lignes très court, mon inspiration a des limites.
    » Exemple de post:
    Spoiler:
    » Comment trouvez vous le forum?: Beau, très bon contexte, et Jared en journaliste, oh god, j'vais m'amuser xD.
    » Où avez vous connu le forum?: Obsession 27.
    » Avez vous lu le reglement?: Ouais *je suis un membre modèle* Show.
    » Avatar: Jared Leto
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Caria De Capelli
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MessageSujet: Re: James Austen. My Autobiography.   James Austen. My Autobiography. EmptyDim 13 Avr - 13:45

Bienvenue =D
Magnifique présentation <3 j'adore ton style d'écriture =) validé
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MessageSujet: Re: James Austen. My Autobiography.   James Austen. My Autobiography. Empty

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